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samedi 14 juin 2014

PENSÉE


PENSÉE #1 – VOTRE PROPOS DANS LA VIE

Il leur dit : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu’il faut que je m’occupe des affaires de mon Père ? (Luc 2 :49)
Voici les premières paroles enregistrées de Jésus lorsqu’Il n’avait que 12 ans. Ses parents le cherchaient désespérément pensant qu’Il s’était perdu dans la multitude à Jérusalem. Deux jours après, ils L’ont trouvé dans le Temple, assis avec les leaders religieux, les écoutant et leur posant des questions. Marie et Joseph L’ont réprimandé, comme le ferait n’importe quel parent dans ces circonstances. Et Jésus leur a répondu en exprimant son étonnement car ils ne comprenaient pas ce qu’Il était en train de faire.
À un si jeune âge, Jésus démontrait déjà une totale clarté quant à Son propos dans la vie : s’occuper des affaires de Son Père.
L’une des choses les plus rentables que vous puissiez faire est savoir, au plus vite, quel est votre propos dans cette vie. Pourquoi êtes-vous dans ce monde ? Occuper un espace, consommer l’oxygène et les autres recours de notre planète, puis mourir et tomber dans l’oubli ? Comment allez-vous contribuer avec votre existence ?
Chacun d’entre nous pouvons vivre une vie intentionnelle, avec un sens et un destin. En fin de compte, nous sommes inclus dans les affaires et les plans de notre Père. La question est : êtes-vous en train de vous préoccuper avec Ses affaires ou avec d’autres choses ?
Pratique : Cherchez les affaires du Père et Il vous aidera à découvrir votre propos dans cette vie.
Savez-vous déjà ou avez-vous déjà défini votre propos de vie ? Quand cela est-il arrivé ? Qu’est-ce qui vous a aidé à le découvrir ? Avez-vous accompli votre propos ?
Vous sentez que vous n’avez pas encore découvert votre propos ? Pourquoi ?



PENSÉE #2 – PRÉPARATION ET GRANDEUR


Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. Matthieu 3:15
C’est la seconde conversation de Jésus enregistrée dans les Evangiles – 18 ans après la première. Ici, à l’âge de 30 ans, Il est prêt pour exécuter Son propos sur la Terre. Notez : Il a attendu jusqu’ici, malgré le fait d’avoir déjà démontré un sens total de mission à l’âge de 12 ans. Qu’a-t-Il fait en attendant ? Il y a peu d’informations à ce sujet, mais ce dont nous pouvons avoir la certitude c’est qu’Il S’est préparé durant toutes ces années. Avant l’exécution, il doit y avoir la préparation.
Les athlètes se préparent durant des années pour une compétition qui dure quelques minutes ou quelques secondes. Un neurochirurgien peut prendre quelques heures pour opérer un patient, mais pas avant de réaliser douze années d’apprentissage et d’entrainement. Si vous ne valorisez pas votre préparation, votre exécution sera probablement pauvre et un échec.
Jésus répondait ici à l’objection de Jean Baptiste à Le baptiser. « C’est moi qui ai besoin d’être baptisé par toi » a dit Jean, reconnaissant la supériorité de Jésus. Mais la pensée de Jésus était : « Maintenant cela doit être comme ça, parce qu’il est important de tout faire de manière correcte, comme cela doit l’être. »
Deux leçons :
Faire, c’est bien. Faire correctement, c’est mieux. Jésus s’est préoccupé de faire correctement, accomplir ce qu’on attendait de Lui ; faire les choses dans l’ordre et à l’heure corrects.
L’humilité est le début de tout. Jésus était plus grand que Jean mais Il s’est soumis à l’autorité de Jean. Ceux qui sont grands ne se préoccupent pas à paraître petits. Seuls ceux qui sont petits se préoccupent à paraître grands. L’honneur vient après l’humilité.
Mise en pratique : Préparez-vous, préparez-vous, exécutez. Exécutez correctement. Ne vous préoccupez pas à paraître grand.
De manière générale, avez-vous l’habitude de trop vous préparer ou de ne pas le faire suffisamment ? Comment pouvez-vous atteindre l’équilibre ? Vous avez la tendance de faire d’abord et voir ensuite si c’est correct ou si c’est bien ? Quels sont les avantages et les inconvénients d’être ainsi ? Avez-vous des difficultés à vous soumettre à quelqu’un de « plus petit » que vous ? Laissez vos commentaires.


PENSÉE#3 – REJETANT LE REMÈDE



Partie de la série « 40 Pensées de Jésus » – Sachez-en plus…
Et ce jugement c’est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Jean 3:19
Jésus parlait avec Nicodème, un leader religieux qui vint lui rendre visite durant la nuit par peur d’être vu. Jésus a profité de la manière furtive de cet homme chercher la vérité pour exposer le plus grand péché – le sien et celui des personnes.
Le plus grand péché n’est pas l’assassinat, l’adultère, le viol, le vol, le mensonge ou une quelconque autre méchanceté humaine. Le plus grand péché est l’incrédulité, le rejet de la lumière de Dieu, car l’incrédulité nous maintient coupables de tous les autres péchés. L’incrédulité c’est rejeter le remède qui nous guérit de tous les autres péchés.
Le remède est celui-ci : Jésus a dit que celui qui croit en Lui n’est pas jugé. Il est coupable, mais absout par sa foi. Celui qui ne croit pas en Lui, cependant, est déjà jugé et condamné. Qui les a jugés et condamnés ?
Eux-mêmes, à travers leurs choix. Ils ont aimé l’erroné plus que le correct. C’est une triste vérité : il y en a qui aiment plus la souillure, qui préfèrent les chemins du diable plus que ceux de Dieu. Ils préfèrent l’obscurité parce qu’en elle leurs erreurs restent cachées. Ils haïssent la lumière parce qu’elle expose tout ce qu’ils pratiquent d’erroné. C’est leur condamnation. Ils recevront exactement ceux qu’ils aiment : les ténèbres. Ils ne pourront pas se plaindre.
Croire est un choix qui exige d’ouvrir main de certaines choses. Ne pas croire est aussi un choix, et exige aussi d’ouvrir main – mais dans ce cas, ouvrir main du présent que Dieu offre pour s’attacher aux mauvaises œuvres.
Mise en pratique : Choisissez de croire. Aimez la lumière plus que les ténèbres. Ouvrez main de choses qui vous séparent de Dieu. Elles n’en valent pas la peine.
Vous avez de la difficulté à laisser la pratique de choses erronées ? Qu’est-ce que cela dit au sujet de votre foi, si ceux qui croient en Jésus ne vivent pas dans l’erreur ? Et si vous décidez de croire, ici et maintenant ? De quoi devrez-vous ouvrir main à cause de votre croyance ? Laissez votre commentaire.

PENSÉE#4 – FERMÉ AUX NOUVELLES IDÉES





Partie de la série « 40 Pensées de Jésus » – Sachez-en plus…
Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin fait rompre les outres, et le vin et les outres sont perdus ; mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Marc 2 :22
Outres neuves, vieilles outres… quelle est la différence? L’outre était une sorte de bourse faite en peau d’animal, normalement de chevreau, utilisée pour garder et transporter le vin. Le vin était mis dans l’outre et celle-ci était alors fermée.
Vieille outre, outre neuve.
Le vin continuait son processus de fermentation qui provoquait un élargissement de la peau jusqu’à ce que celle-ci perde toute son élasticité. Ainsi, si le vin était mis dans une vieille outre, la peau se rompait à cause de la pression provoquée par la fermentation.
Par cette analogie, Jésus a enseigné que si nous restons attachés à de vieilles coutumes, traditions et idées, nous ne pourrons pas comprendre, ni recevoir, rien de nouveau pour notre évolution.
Les esprits stagnants ne peuvent recevoir de nouvelles idées. La rénovation de l’esprit est nécessaire pour recevoir de nouvelles pensées. Les pensées de Jésus, malgré le fait d’être en circulation depuis deux milles ans, sont une nouvelle manière de voir toutes les choses. C’est un vin nouveau. Pour cette raison, seul celui qui « nait de nouveau » peut les recevoir.
Mise en pratique : ouvrez main de vieilles pensées qui ne vous aident plus ou qui ne vous ont jamais aidé. Questionnez vos traditions, coutumes et habitudes. Devenez comme un enfant, spirituellement parlant, pour recevoir de nouvelles directions de Dieu.
Quelles idées ou manières de penser êtes-vous en train de défendre, peut-être seulement par coutume, qui ne vous amènent aujourd’hui aucun résultat pratique ? Vous vous fâchez lorsque quelqu’un présente une idée meilleure que la vôtre ? Qu’est-ce qui arriverait si vous permettiez aux pensées de Jésus d’élargir votre esprit ? Laissez votre commentaire.






PENSÉE#5 – CE N’EST PAS QUOI, C’EST QUI




Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : Donne-moi à boire ! tu lui aurais toi-même demandé à boire, et il t’aurait donné de l’eau vive. Jean 4:10
“Ah, si mon peuple Me connaissait… Ah, s’il M’écoutait ! » C’est la lamentation de Dieu, bien exprimée ici dans cette pensée de Jésus. Il a demandé un peu d’eau à la femme Samaritaine qui était venue en puiser au puits. Elle, guidée par le préjugé qui prévalait à l’époque, a tout de suite créé une difficulté. Juifs et Samaritains ne touchaient même pas un verre ou une assiette que l’autre aurait utilisé. « Toi, un juif, me demandes de l’eau ? Tu vas boire de mon seau ? »
Lorsque les personnes ne connaissent pas Dieu, elles sont pleines de préjugés humains. Le noir n’a pas d’âme. Le blanc est le diable. Le pauvre est paresseux. Le riche est orgueilleux. Les gays doivent s’en prendre plein la tête. Edir Macedo est un voleur.
Les préjugés sont, en vérité, les grands voleurs. Ils nous volent le fait de connaître qui sont réellement les personnes. Ceux qui perdent, c’est nous.
La Samaritaine était en train de parler avec le Créateur mais le préjugé la faisait voir un juif rempli de lui-même. Elle a marchandé un verre d’eau à la
Source de l’Eau de la Vie. Si elle savait ce qu’Il pouvait lui donner…
Connaître Dieu guérit non seulement n’importe quelle personne qui a des préjugés mais fait aussi d’elle une source qui fait jaillir la vie, sans cesser, où qu’elle aille.
Mise en pratique : Ce que Dieu vous demande, si grand soit-il, est peu devant le beaucoup qu’Il a à vous donner. Regardez vers Celui qui vous demande, non vers ce qui est en train d’être demandé.
Avez-vous déjà souffert de préjugés ou avez-vous déjà eu des préjugés envers quelqu’un ? Racontez-nous une expérience et ce qu’elle vous a appris.



PENSÉE #6 – VOS QUATRE FORCES

« Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister ; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. » Marc 3: 24-25
Si tout de nous, toute notre force, n’est souvent pas suffisant pour surpasser nos défis, quelle espérance nous reste-t-il si nous sommes divisés en nous-mêmes ?
Jésus a révélé Sa pensée sur le pouvoir de l’unité. Ce pouvoir s’applique depuis les nations de millions de personnes jusqu’à chaque individu. Un pays qui se divise en groupes qui luttent entre eux sera certainement détruit. Si une famille se divise, et que les personnes qui en font partie commencent à lutter entre elles, elle sera détruite. Cela est facile à comprendre.
Mais une forme de division dont on parle peu est la division à l’intérieur de la propre personne. Une personne est unique mais peut être divisée en elle-même. Et il est plus commun de trouver des personnes divisées en elles-mêmes que des personnes totalement unies de corps, âme, esprit et pensée.
Votre succès dépend de votre habilité à unir toutes vos forces dans la recherche de votre objectif. Quelles forces ?
Physiques (corps), émotionnelles (âme), spirituelles (foi) et mentales (intelligence).
Vous voulez vaincre ? Unissez ces quatre forces et rien ni personne ne pourra vous résister.
Mise en pratique : Identifiez si vous êtes en train de diviser vos forces en vous-même et travaillez pour les unir.
Laquelle de vos quatre forces a été la plus faible ou sous-utilisée ? Comment pouvez-vous la fortifier ou plus l’utiliser ?
Avez-vous l’habitude d’être unificateur ou diviseur dans les relations ? Conciliateur ou querelleur ? Savez-vous travailler en équipe ou êtes-vous plus individualiste ?





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