NOTRE ADRESSE AU BENIN


Cotonou Face a la banque Atlantique de Gbedjromede, C/1147- 8em Arrondissement / Tel.229 97 37 97 10/ 96 84 55 62 / EMAIL: benineurd@gmail.com

samedi 28 février 2015

Ce Vendredi 27/02/2015, presque 1.000 personnes ont participez de la prière de Délivrance au Benin.

Ce Vendredi 27/02/2015, presque 1.000 personnes ont participez de la prière de Délivrance au Benin.
Plusieurs personnes, qui sont victimes des problèmes spirituel ont reçu la Délivrance, au Non de Jesus Christ.

Venez vous aussi participez a cette prière, tous les Vendredi a 6h30, 12h30, 15h et 19h00.




Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. 
(MT 11:28)




Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.
( MT 28:19,20 )

NOTRE ADRESSE AU BENIN

Cotonou
Face a la banque Atlantique de Gbedjromede, C/1147- 8em Arrondissement
Tel:229 97 37 97 10/ 65 64 99 76
EMAIL: benineurd@gmail.com

mercredi 25 février 2015

Voyez mon cadeau d'annivesaire!

Voyez mon cadeau d'annivesaire!


Evêque,
Que Dieu vous bénisse, de plus en plus, évêque et nous donne la joie d’accompagner vos nombreux autres anniversaires, dans cette merveille qu’est de servir Dieu.
Je suppose que vous avez, évêque, dû recevoir des milliers de messages et des cadeaux, mais je voudrais parler aujourd’hui au sujet du cadeau que j’ai reçu au cours de cette magnifique journée et je suis sûre que c’est le meilleur cadeau que vous avez aussi reçu.
Je suis arrivée à l’Universelle à l’âge de 12 ans, j’ai rejoint le Groupe Jeune et au fil du temps, je suis devenue ouvrière, mais par orgueil, j’ai fini par me refroidir dans la foi et je me suis éloignée de Dieu et tout a commencé à aller mal.
Ce furent sept ans d’absence, dans la souffrance, jusqu’à toucher le fond. J’ai essayé à plusieurs fois de revenir, mais je n’arrivais pas à rester ferme, à me donner réellement. Puis, mon mariage qui était mon refuge, a pris fin. J’ai tout perdu.
J’ai souffert de deux accidents de moto, en deux mois, lors du dernier, j’ai failli mourir. Je me suis retrouvée seule, sans forces, sans aucune envie de vivre, je voulais mettre fin à tout cela, j’ai tenté le suicide et cela n’a pas fonctionné. Je pensais que je n’avais aucune valeur, ni même pour mourir. Je demandais à Dieu tous les soirs de ne pas me réveiller le lendemain matin.
Les gens pensaient que j’étais en train de faire face à tout, très bien, mais à l’intérieur, je désirais la mort, même en sachant que j’irais en enfer, car je n’avais pas le courage ni la force de demander pardon à Dieu pour tout le mal que je faisais. J’ai essayé les soirées et les amourettes passagères, mais rien n’a rempli le vide. Cela ressemblait à un trou noir et tout ce que j’ai fait pour essayer d’améliorer, disparaissait dans l’immensité de toute l’angoisse et la tristesse.
Jusqu’à ce que j’ai décidé de revenir. Longtemps j’ai fait tout à ma façon et cela n’a pas fonctionné, maintenant je voulais que cela soit différent. J’ai fait une prière en pensée, demandant de l’aide, car si Dieu voyait ma souffrance et dans tout ce dont j’étais déjà impliquée, à chaque fois que j’ai eu envie de mourir et même ainsi, il a gardé mon âme, c’est parce qu’Il pouvait faire se produire quelque chose. J’ai donc décidé de Lui remettre toutes mes faiblesses, tous mes péchés et toute ma vie.
Au cours du réveillon de fin d’année, je suis revenue, le même jour, je me suis baptisée d’eau et j’ai commencé à vivre différemment. J’ai eu une vraie rencontre avec Dieu. Il m’a guéri de tous mes chagrins, m’a donné une direction, je me suis repentie de toute la vie erronée, que j’ai vécue. Puis vint le Jeûne de Daniel et là j’ai vu la chance de rencontrer réellement le Dieu dont j’ai souvent prêché, mais je ne Le connaissais pas.
Ce furent 21 jours de guerre contre des pensées et des situations. J’ai rejeté tout ce qui me faisait penser à mon passé. Je suis allée tous les jours à l’église; j’ai confessé mes péchés cachés et j’ai demandé pardon à qui j’avais offensé. Il y a des jours où les doutes m’ont bombardé et ces jours-ci, j’ai couru à l’église, j’allais évangéliser, nettoyer l’église… Bref, hier, lors du dernier jour, tout s’est mal passé à la maison, tout est arrivé pour que je reste énervée, des paroles d’échecs, tout, mais j’ai été fidèle et voici, le dernier jour, lors des dernières heures, dans la dernière réunion de la journée et au cours des dernières minutes de recherche, est venue la réponse, le Saint-Esprit est descendu sur ma vie.
Une joie immense, la paix véritable à l’intérieur de moi, je n’avais ni même plus de larmes et ce ne fut rien de ce qui était arrivé dans le passé, les pleurs et le sentiment de bien-être, mais juste la certitude, j’ai pu entendre le Saint-Esprit dire: “Tu es ma fille et Je n’ai jamais désisté de toi, à aucun moment, à partir de maintenant, tu n’as plus besoin de pleurer, maintenant tu dois juste sourire.”
A ce moment-là, j’ai parlé en langues en de brefs mots, mais avec assurance. Ce fut la meilleure expérience de ma vie, rien ne peut être comparé à cela et il n’y a plus de place pour les pensées de doute. Maintenant, je peux regarder mon intérieur et voir qu’il est rempli de la présence de Dieu. Alléluia!
Évêque, je vous remercie pour avoir vaincu tous les combats, que vous avez passés au cours du ministère pour apporter le Salut. Si vous aviez abandonné, je ne serais pas ici aujourd’hui.
Avec toute la joie et la gratitude, une fille de plus est née.

Danielle Brosk

Il ne désiste pas...

 Il ne désiste pas...



Bonjour, Evêque!

Je suis passée par une situation par laquelle je n’ai jamais pensé traverser. J’ai cessé de regarder mon Seigneur et j’ai commencé à regarder la lumière trompeuse du monde. Je suis restée 5 ans comme ouvrière. Je me dédiais, j’étais utile, mais, au fil du temps, cela a pris fin. J’ai commencé à travailler de nuit et je n’ai pas veillé. J’ai refroidi, je me sentais prisonnière, j’ai vu les choses et je voulais faire.

Jusqu’au jour où j’ai décidé d’accepter de prendre la voiture avec un collègue de travail. Ce fut le pire jour de ma vie, parce que ce fut à ce moment-là, que j’ai décidé de tout abandonner. J’ai commencé à vivre dans le mensonge. Je ne voulais plus rien savoir du Dieu qui m’a tellement aimé. Nous avons donc commencé à parler sur le whatsApp, nous avons échangé nos numéros de téléphone, nous avons fixé des rencontres… J’allais à la réunion, j’allais à l’église, mais c’était comme si j’étais loin. Mon corps était juste là.

J’avais l’immense désir de sortir et de sortir de là. J’ai donc décidé sur un coup de tête de quitter la maison sans me soucier de quoi que ce soit, sans un regard en arrière. J’ai tout quitté et je suis allée chez ma sœur, loin de l’Universelle où j’allais. J’ai décidé de m’enfuir. Je pensais que tout allait bien… Mais ce n’était que le début de ma destruction. J’ai commencé à boire, au point d’être tellement ivre que je ne pouvais me rappeler de presque rien le lendemain.
J’ai commencé à fréquenter des hommes mariés et à souffrir leurs menaces. Mais j’ai eu connaissance des propos que ma mère faisait et je ne les ai jamais oubliés. Mais l’orgueil m’a empêché de retourner à mon Seigneur.

Jusqu’au jour, où je me suis retrouvé dans une terrible angoisse. Je passais toute la journée en larmes. Je me suis rappelé d’ô combien j’étais heureuse, j’étais en présence de mon Seigneur. J’ai décidé de revenir, d’abandonner le péché, de tout quitter et de me remettre à Dieu.

Évêque, aujourd’hui, j’écris ici avec un bonheur que je confesse ne plus sentir depuis longtemps. Ce Jeûne de Daniel est mon tout pour le tout de Dieu.

Aujourd’hui, en ce jour, le 08/02/2015, je peux dire AH, QUEL JOUR!
Je remercie Dieu pour chaque propos fait par moi, pour chaque larme. Principalement parce que Dieu n’a pas désisté de moi!

Sara Daniele

mardi 24 février 2015

Groupe de l'évangélisation au BENIN

Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.

Toutes les dimanches, le Groupe de l'évangélisation, vont a la recherché des âmes perdus.



Le fruit du juste est un arbre de vie, Et le sage s'empare des âmes.
Prov 11:30

Dimanche du Pardon

Ce Dimanche du Pardon sera inoubliable, dans la vie de centaines de béninoise, qui ont participez a cette prière a 7h, 9h et 18h00.



Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.
Marc 11:25

jeudi 19 février 2015

  S’ils comprennent cela, hommes et femmes ne se traiteront plus jamais de manière erronée


Lorsque vous étiez enfant et que quelque chose vous faisait pleurer, votre expérience était probablement la suivante:

Si vous étiez un garçon: vous pleuriez, alliez vers votre père ou votre mère en espérant être consolé et vous écoutiez quelque chose du genre: “Arrête de pleurer! Tu es un homme! Un homme ne pleure pas.” Cela n’a pas trainé et vous avez appris que vous devriez précisément agir ainsi à chaque fois que vous auriez un problème.

Si vous étiez une fille: vous pleuriez, alliez vers votre père ou votre mère en espérant être consolée et vous écoutiez quelque chose du genre: “Ah, ma chérie, qu’est-ce qui se passe? Viens là, dis-moi ce qui s’est passé…” – tandis que vous receviez une chaleureuse accolade, on vous passait la main sur la tête ou dans le dos et une délicieuse épaule pour pleurer jusqu’à la dernière larme. Cela n’a pas trainé et vous avez appris à précisément attendre cela à chaque fois que vous auriez un problème.

À présent, vous êtes adulte et marié. Mais ce que vous ne savez peut-être pas encore, c’est que cet enfant est encore là, à l’intérieur de vous. Et qu’est-ce que cela signifie pour votre mariage? Considérez les expériences et les comportements que vous et votre conjoint avez lorsque vous avez des problèmes.
Qu’est-ce qui arrive lorsque votre épouse est triste, sur les nerfs, stressée par quelque chose? Vous agissez précisément comme vous avez appris. Elle vient vers vous pour parler, espérant trouver une épaule amie, un geste de douceur, une oreille attentive. Et qu’est-ce que vous lui donnez? Le même traitement de choc que vous receviez de la part de vos parents quand vous étiez enfant. Et pire encore: vous la condamnez car vous la considérez faible, émotive, et vous allez immédiatement lui offrir vos solutions. Et elle, évidemment, se demande comment elle a pu se marier avec ce troglodyte insensible de l’ère glaciaire.
Vous, épouse: votre mari est sur les nerfs à cause de quelque chose, stressé, en colère ou en train d’accumuler une autre émotion négative quelconque. Vous, bien sûr, remarquez tout de suite que quelque chose ne va pas. Voulant aider, vous lui donnez le traitement que vous receviez quand vous étiez enfant: “Mon amour, qu’est-ce qu’il y a, quelque chose ne va pas? Dis-moi! À quoi penses-tu?” Mais il vous donne la réponse classique, “Rien, tout va bien” – tandis qu’il pense: “Pourquoi est-ce que cette enquiquineuse ne me laisse pas tranquille?” Et vous vous sentez isolée de son monde.

Vous demandez encore pourquoi hommes et femmes ne se comprennent pas?

La solution commence lorsque vous reconnaissez ces différences entre les sexes. Ensuite, apprenez à communiquer de manière plus efficace avec votre partenaire, selon son langage. Je ne veux pas dire que l’homme doit pleurer sur l’épaule de son épouse ou que l’épouse doit commencer à retenir ses larmes. Mais vous pouvez être plus compréhensifs et tolérants l’un envers l’autre, faisant des efforts pour vous rencontrer à mi-chemin.

Vous, homme, pouvez avoir un peu plus le rôle de père lorsque votre femme est en train d’avoir ses crises de nerfs. “Viens par là, laisse-moi t’enlacer… Ça va aller.” Et lorsque vous êtes dans vos moments sombres, être un peu plus à l’aise pour vous ouvrir avec elle au sujet de ce qui est en train de vous ennuyer sur le coup – au moins pour qu’elle ne s’imagine pas des choses.

Vous, femme, pouvez apprendre à laisser plus d’espace à votre mari. Comprenez qu’il a appris à se consoler tout seul depuis son enfance et qu’il ne sait pas très bien manipuler l’exhibition de ses sentiments, voyant en effet cela comme une faiblesse. Cela doit aussi vous servir d’indication afin de ne pas décharger tout votre fardeau émotionnel sur lui lorsque vous êtes stressée.
Les couples qui comprennent cela et font les compensations nécessaires sont bien plus heureux.
Peut-être que votre conjoint(e) n’a pas cette compréhension. Mais ce n’est pas la fin du monde. Cela signifie simplement que vous devrez être un peu plus fort(e) et compréhensif(ve).

La femme veut que son mari soit son rocher, son port d’attache dans la relation. Elle veut l’assurance qu’elle peut tout décharger sur lui – rage, frustration, tristesse – sans qu’il se sente mal ou ne s’ébranle. Au lieu de réagir, la femme veut que son mari demeure ferme tandis qu’il cherche à la comprendre et à l’ancrer durant ce moment difficile. Tâche qui n’est en rien facile pour lui, bien sûr, mais qui est possible.

L’homme veut que son épouse confie en lui, ne reste pas là à attendre qu’il lui raconte tous ses problèmes avec un sens du détail à l’échelle d’une aile de papillon. Cette confiance, elle peut la démontrer en le laissant résoudre les choses, mais sans l’abandonner. Il veut qu’elle reste proche, même si c’est en silence, montrant par ses gestes de gentillesse qu’elle confie dans sa capacité de surpasser n’importe quelle situation. Ce n’est pas facile pour elle, mais tout à fait possible.
Comprenez et pratiquez cela. Souvent, être adulte et mûr dans une relation signifie comprendre l’enfant qui existe encore en vous.

Blog de Eveque Renato Cardoso

mercredi 18 février 2015


            Participez a cette enquêtte                

Dit nous, quelle a été l'expérience que vous avez eu, atravers de cette JEUNE de DANIEL?

Temple de Salomon